lundi 30 juillet 2012

Basilique Cathédrale Marie-Reine-du-Monde

La basilique-cathédrale Marie-Reine-du-Monde de Montréal est le siège de l’archidiocèse de Montréal. C’est la troisième plus grande église du Québec après l’Oratoire Saint-Joseph et la basilique Sainte-Anne-de-Beaupré. Elle est située au centre-ville de Montréal, dans l’arrondissement Ville-Marie, au 1085, rue de la Cathédrale, à l’angle du boulevard René-Lévesque. (Wikipédia)




Consacrée en 1894 sous le nom de Cathédrale Saint-Jacques
Proclamée basilique en 1919 et connue dès lors sous le nom de Basilique Saint-Jacques-le-Majeur
Reconsacrée en 1955 sous le nom de Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
Architectes : Victor Bourgeau, Alcibiade Leprohon et Joseph Michaud
Firme d'architectes chargée des travaux de rénovation : Crevier Lemieux et Mercier
Dates de construction : 1870-1894
Date de rénovation : 1955-1960
Modèle réduit de la basilique Saint-Pierre de Rome


Mgr Ignace Bourget, le deuxième évêque de Montréal ordonna la construction d'une nouvelle cathédrale pour remplacer l'ancienne cathédrale Saint-Jacques de Montréal, qui avait été détruite dans le grand incendie de Montréal de 1852.
En 1857, à la faveur d'un séjour à Rome, Mgr Bourget décida de faire de sa future cathédrale une réplique réduite de la basilique Saint-Pierre-de-Rome. L'idée vint de son secrétaire, le chanoine Joseph-Octave Paré. Ce choix scellerait l'attachement et la vénération que Mgr Bourget portait au pape.
À Montréal, ce projet fut accueilli avec enthousiasme, ce qui créa un climat favorable à une campagne de souscription.
Elle fut construite dans l'ouest de la ville d'alors, là où se trouvaient les quartiers cossus, alors que l'ancienne cathédrale était située dans l'est. (Wikipédia).


Excavation sur le site de la nouvelle cathédrale Saint-Jacques
28 mai 1870
© Bibliothèque et Archives nationales du Québec,#30, © Héritage Montréal

Commencée en 1870, la construction de cette copie réduite de la basilique Saint-Pierre de Rome est mise en suspens en 1878 suite à la crise financière et à la démission de l'évêque Bourget. Elle se poursuit en 1885 pour être achevée en 1894. Les statues de la façade sont ajoutées quelques années plus tard.
Son statut de basilique mineure est acquis en 1919, et l'église est renommée cathédrale Marie-Reine-du-Monde en 1955. Aujourd'hui en plein centre-ville, l'église, remarquable à plusieurs points de vue, est le siège de l'archidiocèse de Montréal. (Héritage Montréal)


Cathédrale Marie-Reine-du-Monde (bénédiction de la première pierre) 1870
© Bibliothèque et Archives nationales du Québec,
 Albums de rues E.-Z. Massicotte – MAS 2-80a-a, © Héritage Montréal


Photo-gravure de la cathédrale de Montréal
2 octobre 1886 - Dessin
© Ville de Montréal, Gestion de documents et archives (Z-1651), © Héritage Montréal

La cathédrale néo-Renaissance italienne est une interprétation réduite de Saint-Pierre-de-Rome. Elle compte en façade une série de fenêtres surmontées d'un fronton arrondi et encadrées de colonnes et pilastres. La partie centrale du bâtiment présente un imposant fronton triangulaire. Au dessus de la corniche se dressent une série de statues représentant les 13 patrons des paroisses du diocèse de Montréal de l'époque.
Derrière cette façade, les murs de pierre calcaire brute ou bosselée, avec pierre de taille autour des fenêtres, forment un plan en croix surmonté d'un grand dôme et de deux petits dômes en cuivre.
À l'intérieur, l'orgue Casavant, des statues, oeuvres d'art et fresques ornent l'ensemble de la nef, de la magnifique voûte à caissons et du baldaquin néobaroque en bronze doré d'Arthur Vincent et Joseph Olindo Gratton. L'église est également dotée d'un sanctuaire, d'une abside, d'une chapelle funéraire des évêques, d'un baptistère, de la chapelle des mariages et de la chapelle du souvenir. (Héritage Montréal)


Cathédrale Marie-Reine-du-Monde et le monument Bourget, 1903
© Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues
E.-Z. Massicotte – MAS 2-83-b, © Héritage Montréal

Personnage controversé, Mgr Bourget mise sur l'union de l'Église et de l'État pour accomplir ses oeuvres caritatives et ses projets. Deuxième évêque de Montréal de 1840 à 1876 et archevêque de Marianopolis, on lui doit la construction de la cathédrale Marie-Reine-du-Monde aux abords du square Dominion (1894), la première ayant été incendiée en 1858. (Héritage Montréal)


Monument Bourget (en face de la Cathédrale Marie-Reine-du-Monde)
© Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues E.-Z. Massicotte
 – MAS 2-84-c, © Héritage Montréal

L'éloquence et la détermination de Monseigneur Ignace Bourget (1799-1885) se lisent dans cette sculpture de l'artiste Philippe Hébert, commandée par le diocèse de Montréal. À l'inauguration, le jour de la fête nationale du Québec de 1903, une foule de 50 000 personnes se presse sur le parvis de la cathédrale et au Square Dominion. Cette cathédrale catholique et française, Mgr Bourget a tenu envers et presque contre tous, à la construire dans l'ouest de la ville, dans un quartier majoritairement protestant et anglophone. La présence de Mgr Sbaretti, délégué du pape au Canada, de Mgr Bruchési, d'une garde d'honneur formée par des Zouaves pontificaux et de nombreux politiciens témoigne du rôle majeur joué par cet homme d'église.
Du haut de son imposant piédestal, vêtu d'une toge épiscopale, Mgr Bourget s'adresse à ses sujets, le visage tourné vers le Mont-Royal. Manuscrit à la main, d'un geste prédicateur, le prélat les incite à garder le dépôt sacré des traditions et à se souvenir de ses labeurs. Telles ont été ses dernières paroles dans son mandement d'adieu.
Des paroles coulées dans le bronze tout comme les bas-reliefs qui illustrent les valeurs qui motivent ce haut prélat de l'église catholique montréalaise. La Religion, orientée vers l'ouest, accompagne un vieil homme au seuil de la mort et un enfant qui prie. Elle porte la couronne de la victoire, écrasant sous son pied un serpent, symbole du péché originel. La Charité, orientée vers l'est, les yeux tournés vers le ciel, soutient un enfant tout en désignant une femme amaigrie, triste et résignée, à qui elle vient de donner une miche de pain.
De part et d'autre du monument, deux bas-reliefs illustrent des épisodes de la vie de Mgr Bourget dont une visite en Italie au camp des zouaves canadiens et le moment crucial d'approbation des plans de la cathédrale Marie-Reine-du-Monde.(Héritage Montréal)


Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
Carte postale
© Dinu Bumbaru, © Héritage Montréal

Victor Bourgeau, l'architecte initial, estima (avec son collaborateur Alcibiade Leprohon), que la basilique Saint-Pierre était trop difficile à reproduire, même sur une échelle réduite. L'évêque, toujours déterminé à voir son projet se réaliser, envoya alors Fr. Joseph Michaud au Vatican. À ce moment, le Saint-Siège était menacé par les troupes de Victor-Emmanuel II, roi du Piémont, et l'expédition du prêtre vers Rome était une mission secrète. Le but de son voyage était d'étudier secrètement la basilique Saint-Pierre et d'en tracer des plans.
La construction débuta en 1875 et la nouvelle église fut consacrée à saint Jacques en 1894 sous le nom de cathédrale Saint-Jacques, lequel devint également le patron de la paroisse desservie par l'église. À l'époque, c'était la plus grande église du Québec. (Wikipédia)


Cathédrale Saint-Jacques, Montréal, QC, vers 1934


Cathédrale Marie-Reine-du-Monde en 1936
© Ville de Montréal, Gestion de documents et archives (Z-175), © Héritage Montréal


Vue du Square Dorchester, Y.M.C.A et Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
© Financière Sun Life, © Héritage Montréal


Cathédrale Marie-Reine-du-Monde, carte postale
© Dinu Bumbaru, © Héritage Montréal


Statues de façade

13 statues de cuivre, installés en 1900, ornent la partie supérieure de la façade de la cathédrale. Contrairement à ce qui pensent plusieurs Montréalais et visiteurs, ces statues ne sont pas des apôtres. Ce sont des treize saints patrons des paroisses de la ville de Montréal.


Vue de la gare Windsor et bureaux, et de la Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
© Bibliothèque et Archives nationales du Québec,
Albums de rues E.-Z. Massicotte – MAS 2-85-d, © Héritage Montréal


Cathédrale Marie-Reine-du-Monde (anciennement St-Jacques-le-Majeur)
© Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues E.-Z.
 Massicotte – MAS 2-79-b, © Héritage Montréal

Le père Joseph Michaud, clerc de Saint-Viateur est né à Kamouraska. Joseph Michaud étudie au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière de 1838 à 1848 avant d'entrer chez les Clercs de Saint-Viateur à Joliette en 1848. Il occupe les postes de professeur au Collège de Joliette et de directeur pendant un temps du Collège de Rigaud. Parmi ses réalisations, on compte la chapelle gothique au Collège de Chambly (1855, plans tracés en 1853), la première partie du Collège de Rigaud (1856) et le Collège de Joliette en 1874, l'année même où il réalise les plans de la halle du marché public dans la même ville. Le personnage est surtout connu pour la conception, en 1870, de la cathédrale Marie-Reine-du-Monde à Montréal, boulevard René-Lévesque, dont il entreprend le chantier de concert avec Victor Bourgeau et Alcibiade Leprohon à partir de 1875. (Héritage Montréal)


Cathédrale Marie-Reine-du-Monde et square Dominion à vol d'oiseau
8 septembre 1966
© Ville de Montréal, Gestion de documents et archives (A-365-6), © Héritage Montréal

Le dôme fut achevé en 1886. Au mois d'août de la même année, la haute croix de dix-huit pieds de hauteur, en fer forgé, pesant 1,600 livres, fut fixée à son sommet. (Elle fut remplacée, en 1958, par une croix en aluminium de vingt pieds de hauteur.)
En 1919, le pape Benoît XV, à la demande de Mgr Bruchési, conféra le titre de Basilique mineure à la Cathédrale Saint-Jacques-le-Majeur. En 1933, la splendide chapelle mortuaire des évêques fut inaugurée par Mgr Georges Gauthier, cinquième évêque et troisième archevêque de Montréal.

Enfin, la Cathédrale subit une importante transformation entre 1955 et 1960. Le cardinal Paul-Émile Léger avait organisé, à cette fin, une opération de levée de fonds. C'est également à la demande du cardinal Léger que le pape Pie XII conféra à la Basilique le nouveau vocable de Marie-Reine-du-Monde.

Le 20 août 1951, Mgr Giovanni-Battista Montini, futur pape Paul VI, visita la Cathédrale. Le 31 août 1969, y entra le cardinal Karol Wojtyla, futur pape Jean-Paul II. On ne savait pas, alors, que le 10 septembre 1984, il reviendrait en cette même Cathédrale et serait le premier pape à visiter le Canada.  (Source : http://cathedrale-mrdm.blogspot.ca/p/histoire)


Basilique Marie-Reine-du-Monde
Credit: Library and Archives Canada / PA-


Vue aérienne de la Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
Source : Banq


Vue aérienne de la cathédrale Marie-Reine-du-Monde
© Ville de Montréal, Gestion de documents et
 archives (17-9-8-4 Dossier R3232.2 (1085)), © Héritage Montréal


Basilique Marie-Reine-du-Monde
Source : BANQ - Pistard


Façade de la cathédrale Marie-Reine-du-Monde
4 juillet 1969
© Ville de Montréal, Gestion de documents et archives (586-2), © Héritage Montréal


Façade de la cahédrale Marie-Reine-du-Monde
Source : Inventaire des lieux de culte du Québec.



Détail de la coupole

D'inspiration néo-renaissance italienne, la Cathédrale Marie-Reine-du-Monde a conservé l'apparence générale de la Basilique Saint-Pierre-de-Rome. Le dôme repose sur une charpente de bois recouverte de feuilles de cuivre. Deux dômes plus petits, qui avaient été prévus pour les tours de l'arrière, n'ont jamais été construits.


Vue des toits vers le Nord-Ouest
Source : Université de Montréal


Vue du dôme
Source : Université de Montréal
Narthex de la Basilique Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
Source : Wikipédia


Intérieur de la cathédrale Marie-Reine-du-Monde
© Ville de Montréal, Gestion de documents et archives (17-9-8-4 Dossier R3232.2 (1085)),
 © Héritage Montréal


Intérieur Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
Carte postale
© Dinu Bumbaru, © Héritage Montréal


Intérieur de la Cathédrale Saint-James
Entre 1900 et 1920
© Université du Québec à Montréal. Service des archives et
de gestion des documents. Fonds d’archives
André-de-la-Chevrotière (183P-650/1-2), © Héritage Montréal


Cathédrale Marie-Reine-du-Monde (anciennement St-Jacques-le-Majeur), intérieur
© Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Albums de rues E.-Z. Massicotte
 – MAS 6-22-d, © Héritage Montréal


Vue d'ensemble vers le coeur de la Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
©Fondation du patrimoine religieux du Québec, ©Héritage Montréal

Les médaillons peints, représentant les quatre évangélistes, sont réalisés par Jules Bernardin et Raoul Rioux.


Intérieur de la Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
©Fondation du patrimoine religieux du Québec, ©Héritage Montréal


Choeur de la basilique Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
Source : Diocèse de Montréal


Réplique du baldaquin du Bernin à Saint-Pierre de Rome.
Source : Wikipédia


Intérieur de la Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
Fondation du patrimoine religieux du Québec
©Fondation du patrimoine religieux du Québec, ©Héritage Montréal


À la croisée du transept
Source : Wikipédia


Gisant en bronze doré de Mgr Bourget
Source : Diocèse de Montréal


Plafond de la chapelle funéraire des évêques
Source : Wikipédia


L'orgue (opus 2073), installé en 1893 par la maison Casavant

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    Le 30 janvier 1893, un contrat est accordé à la maison Casavant Frères pour la construction d'un instrument de 50 jeux, à traction electro-pneumatique, répartis sur 3 claviers et ce, pour la somme de $12,000. L'instrument (Opus 40), comprenant une console détachée du buffet, fut installé dans le jubé arrière de la cathédrale. Le contrat spécifiait que le buffet de l'instrument ainsi que la décoration des tuyaux de la façade étaient à la charge de la cathédrale. L'inauguration a eu lieu le 22 septembre 1893 par l'organiste et compositeur français Alexandre Guilmant.
    En 1951, l'orgue a été complètement reconstruit et a été agrandi par Casavant Frères pour une somme de $47,000. Les travaux ont porté l'instrument à 76 jeux dont une batterie de 18 jeux d'anches et un grand plein-jeu de 16 pieds. La console a été remplacée et un système de combinaisons électriques a été prévu pour le tirage de jeux. Le buffet a été modifié afin de permettre une meilleure diffusion du son vers le sanctuaire et les tuyaux de la façade ont été repeints.
    En 1996, une restauration, destinée à remédier aux lacunes techniques de l'instrument et à confirmer son esthétique symphonique à la française, a été réalisée par la maison Guilbault-Thérien de Saint-Hyacinthe. Depuis, l'orgue compte 93 jeux et comprend une division flottante, appelée "solo", où repose une trompette horizontale "en chamade". Un ordinateur, conçu par la maison Syncordia, a été intrégré à l'instrument pour le tirage des jeux. Cet ordinateur gère un séquenceur ainsi qu'un combinateur de huit utilisateurs comprenant 256 niveaux de mémoire chacun.
    Les grandes orgues possèdent des pleins-jeux et des cornets à tous les claviers. Elles sont également pourvues d'une enviable batterie de jeux d'anches. Au seul clavier de grand-orgue, on compte deux trompettes, une bombarde et un clairon, tandis que les claviers du grand-choeur, du positif et du récit comportent des séries complètes d'anches de 16, 8 et 4 pieds. La trompette en chamade couronne l'ensemble. Par ailleurs, le grand plein-jeu de 16 pieds jouit de la profondeur du Bourdon de 32 pieds du grand-orgue. (http://www.uquebec.ca/musique/orgues/quebec/mariermm.html)
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              Désigné lieu historique national du Canada en 2006, la cathédrale est un immeuble de valeur patrimoniale exceptionnelle. Les architectes Crevier, Lemieux et Mercier supervisent les travaux de restauration de la cathédrale, réalisés entre 1955 et 1960. (Héritage Montréal).

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              Les cathédrales de Montréal
              Depuis Monseigneur Jean-Jacques Lartigue, premier évêque,
               le diocèse de Montréal a eu six cathédrales:
              • la première, de 1821 à 1822: La Basilique Notre-Dame de Montréal 
              • la deuxième, de 1822 à 1825: la chapelle de l'Hôtel-Dieu, à l'angle des rues Saint-Paul et Saint-Joseph;
              • la troisième, de 1825 à 1852, à l'angle des rues Sainte-Catherine et Saint-Denis, incendiée en juillet 1852;
              • la quatrième, de 1852 à 1855; la chapelle de l'Asile de la Providence, angle   Saint-Hubert et Sainte-Catherine
              • la cinquième, de 1855 à 1894: une modeste chapelle au mont Saint-Joseph (emplacement de l'archevêché actuel);
              • la sixième, à partir de 1894: la cathédrale actuelle. C'est Monseigneur Ignace Bourget, second évêque de Montréal (1840-1885), qui songea le premier à faire ériger la Cathédrale dite aujourd'hui Basilique-Cathédrale Marie-Reine-du-Monde et Saint-Jacques-le-Majeur.




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              3 commentaires:

              1. J'ANNONCE A MARIE REINE DU MONDE QUE J'AI UN AN DE PLUS EN CE JOUR J'OFFRE POUR CETTE INTENTION LA NAISSANCE DE LA PRINCESSE CHARLOTTE ELISABETH DIANA REQUIEM IN PEACE CARD PAUL EMILE LEGER 17 NOVEMBRE FETE DE BETHSABEE LE SECRET DE LA REINE DE JERUSALEM C'EST AUSSI LA FETE NATIONALE DU CAMEROUN 20 MAI 2015 MON REVE EST D'EPOUSER MARIE REINE DU MONDE PAR SE DAVID JOHNSTON GOUVERNEUR GENERAL DU CANADA 10 JUILLET 2012 NOCES D'OR CAMEROUN CANADA AFRICA PRESS AU CNRH CARD PAUL EMILE LEGER D'ETUG-EBE YAOUNDE CAMEROUN
                DIS-MOI MERE QUE DIRAS-TU DE TE METAMORPHOSER EN BEAU BLOND RICHE ET BEAU DE 50 ANS ET VENIR AU CAMEROUN A YAOUNDE M'EPOUSER TU FERAS MON REVE MA JOIE ET MON BONHEUR
                JE T'ADORE!
                BUEA NSIMALEN- BETHSABEE-DEBORAH REBECCA SOLANGE NSAS-NSAS

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              2. Je crois avoir fait l'acquisition d'un banc de l'église. C'est un banc d'église à une place tout en chêne avec le dossier en pointe. Il aurait été utilisé par le Cardinal Paul-Émile Léger dans les années 50. Il y a une inscription à l'arrière qui confirme cela. Pouvez-vous me le confirmer? Merci, Stéphane Cloutier

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              3. Merci,vous m'avez rendu la tache facile pour ma présentation oral.Vous êtes le meilleurs sites que j'ai trouvées.

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